« Il faut que tout fonctionne bien, et en toute sécurité »

Après la chasse aux coûts cachés, la deuxième pratique fondamentale est de maîtriser le risque sur les pertes de données, sur la capacité de production, sur le chiffre d’affaire ou sur les clients.
Le pourcentage des entreprises affectées par une interruption d’infrastructure informatique ou de pertes de données à cause d’un problème de sécurité est accablant. En effet, elles sont 37% à avoir été touchées sur l’année 2015*.

Dans cette phase, avoir un plan de reprise d’activité est essentiel dans l’optique d’une informatique durable.

Chaque dirigeant de PME doit se poser deux questions simples :

  • En cas d’un hypothétique crash serveur, dans combien de temps pourrons-nous redémarrer l’activité de notre PME… quelle est l’interruption admissible ?
  • Et combien d’heures (voire de jours) de données pouvons-nous nous permettre de perdre… quelle est la perte admissible ?

Parmi les données à recenser pour cette analyse, on trouve la messagerie, les données partagées et les bases de données. Mais pour faire face à un sinistre de manière efficace, il faut aller beaucoup plus loin : les systèmes physiques et virtuels, les personnalisations des logiciels métiers, les comptes utilisateurs, les profils locaux et les préférences, les données externes (site web…) et les configurations boitiers (routeur/firewall/switch) doivent être intégrés dans le plan de reprise d’activité.

En suivant le plan d’action proposé, nos clients PME peuvent affirmer :

  • « J’ai la certitude de pouvoir redémarrer mon activité en 15 minutes »
  • « Au maximum, je suis sûr de ne pas perdre plus de 1 heure de données »

*Source : étude EMC Corporation pour Dell effectuée de mars à avril 2016 auprès de 200 entreprises françaises publiques et privées de +250 collaborateurs.